La question de la seconde venue de Jésus est aujourd’hui sur toutes les lèvres, mais pas toujours dans le sens où on l’aurait souhaité. Pour plusieurs personnes en effet, c’est devenu un sujet de blague et de moquerie. Il suffit ainsi de dire à quelqu’un : « je reviens » ; pour l’entendre répondre : « même Jésus avait dit ça. » On entend tout genre de discours à ce sujet. Pour certains, « La manière dont on l’avait fouetté la première fois, il ne peut plus tenter. » De nombreuses chansons ont été produites dans ce sens, et on assiste à toute une cacophonie autour d’un sujet pourtant sacré. Il y en a qui ont même fini par se lasser. « Depuis qu’il avait dit qu’il revenait, ça fait aujourd’hui près de deux mille ans et il n’est toujours pas revenu. » C’est au point où on est amené de nos jours à se poser un certain nombre de questions :  la seconde venue de Jésus est un mythe ou une réalité ? Au cas où cela s’avérait être une réalité, existe-t-il des preuves ? Et dans ce cas, que revient-il faire ? Et comment cela se passera-t-il ?

La promesse est pourtant claire

            Pendant sa mission terrestre, Jésus avait pris la peine de préciser qu’il était nécessaire qu’il s’en aille afin de nous préparer une place ; et une fois que cela serait fait, il reviendrait nous chercher. « Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. » (Jean 14 : 3) Après avoir achevé sa mission, et pendant qu’il s’en allait, cette promesse nous a été rappelée. « Après avoir dit cela, il fut élevé pendant qu’ils le regardaient, et une nuée le déroba à leurs yeux. Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu’il s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent, et dirent : hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel. » (Actes 1 : 9-11) La seconde venue de Jésus est donc clairement énoncée dans la bible. Mais il y a un gros problème : de nombreuses personnes n’ont pas foi en la bible, elles n’accordent donc aucun crédit à ce qui y est écrit. C’est pourquoi il convient tout d’abord de répondre à la question : la bible est-elle un livre fiable ?

La bible : un livre digne de confiance

            L’une des raisons les plus évoquées par ceux-là qui n’ont pas confiance en la bible est qu’elle a été écrite par les hommes, ce qui est vrai. Ceux-ci auraient ainsi inventé les histoires qui y sont contenues, ou ajouté leurs propres pensées et volontés, ce qui est faux. Notons que la rédaction de la bible a commencé en l’an mille cinq cents avant Jésus Christ, et s’est achevée en l’an cent après Jésus Christ. Soit une période de rédaction de mille six cents ans. Pour que la bible soit le livre d’un homme, il faut que ce dernier ait vécu au moins pendant toute la durée de sa rédaction, c’est-à-dire mille six cents ans ; car quelqu’un ne peut pas être moins âgé que son livre. Or dans l’histoire de l’humanité, il n’existe aucun homme qui a vécu mille six cents ans. Celui qui a battu le record de longévité sur la terre s’appelle Métuschélah, et il n’a vécu que neuf cent soixante-neuf ans. (Genèse 5 : 27) Il est donc impossible que la bible soit le livre d’un homme ; il ne peut être que celui de Dieu.

Ensuite, un livre ou tout document écrit dispose d’un auteur (le propriétaire des propos qui y sont contenus) et d’un rédacteur (celui qui a mis les propos par écrit). Dans la plupart des cas, l’auteur et le rédacteur se résument à la même personne. Mais dans certains cas, les deux sont différents. C’est justement le cas de la bible. Imaginons un grand-père qui veut envoyer un e-mail à son fils aux États-Unis. Ne maîtrisant pas l’outil informatique, il fait recours à son petit-fils. Le grand-père se met donc à parler, et le petit-fils écrit, et à la fin il expédie le courriel. Lorsque son fils lira l’e-mail aux États-Unis, il saura que c’est son père qui est en train de lui parler ; pourtant c’est le petit-fils qui l’a rédigé. L’e-mail véhiculera ainsi la pensée et la volonté du grand-père, et non du petit-fils. Le petit-fils n’a été que le rédacteur, mais l’auteur de la lettre c’est le grand-père. C’est exactement de cette façon que la bible a été écrite. Les hommes n’ont été que des rédacteurs, mais l’auteur, c’est Dieu. Dieu parlait, et les hommes écrivaient. La bible véhicule donc la pensée et la volonté de Dieu, et non celles des hommes. Et pendant qu’ils écrivaient, ont-ils ajouté leur propre volonté ? Dieu lui-même répond : « Car ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. » (2 Pierre 1 : 21). Il est à noter que la prophétie c’est la parole de Dieu. « Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice. » (2 Timothée 3 : 16)

C’est pourquoi quelqu’un comme le prophète Daniel, pendant qu’il écrivait le livre qui porte son nom, et dont on peut être tenté de dire que c’est son livre, pouvait écrire des choses qu’il ne comprend pas. « J’entendis, mais je ne compris pas ; et je dis : mon seigneur, quelle sera l’issue de ces choses ? » (Daniel 12 : 8) Or un écrivain ne peut pas être en train d’écrire un livre et ne pas comprendre ce qu’il écrit ; puisque c’est lui la source des idées développées dans le livre. La seule explication qui tienne est que ce que Daniel écrivait ne venait pas de lui. Il était tout simplement en train d’écrire ce que quelqu’un lui demandait d’écrire. Et ce quelqu’un n’était autre que Dieu. Dieu a parlé, Daniel a entendu, mais n’a pas compris. Il a donc posé la question à Dieu : « quelle sera l’issue de ces choses ? » La bible est donc le livre de Dieu, et il le déclare sans ambages. « Consultez le livre de l’Éternel, et lisez ! Aucun d’eux ne fera défaut, ni l’un ni l’autre ne manqueront ; car sa bouche l’a ordonné. C’est son Esprit qui les a rassemblés. » (Esaïe 34 : 16) Nous allons donc consulter le livre de l’Éternel afin de vérifier à l’intérieur un certain nombre de choses, qui nous feront comprendre que c’est un livre entièrement digne de confiance.

Notre corps a été fait à partir de la poussière

            La bible nous fait comprendre que notre corps a été fait à partir de la poussière de la terre. « L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant. » (Genèse 2 : 7) Des scientifiques ont entrepris de le vérifier. Pour cela, ils ont pris la poussière de la terre, ainsi qu’un fragment de chair humaine, qu’ils sont allés analyser en laboratoire. Les résultats ont été sans appel : la chair humaine et la poussière de la terre ont exactement les mêmes constituants (Oxygène, Carbone, Hydrogène, Calcium, Phosphore, Potassium, etc.) Ceci est la meilleure preuve que la chair humaine a bien été faite à partir de la poussière de la terre. C’est la raison pour laquelle après un enterrement, si on revient creuser plusieurs années plus tard, on constatera que le corps a disparu. Il est retourné dans la poussière d’où il avait été pris. « C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain, jusqu’à ce que tu retournes dans la terre, d’où tu as été pris ; car tu es poussière, et tu retourneras dans la poussière» (Genèse 3 : 19)

La terre est suspendue dans le vide

            Jusqu’à une certaine époque, on pensait qu’il y avait des supports qui soutenaient la terre. Pendant ce temps, dans la bible, on pouvait lire ce qui suit : « Il étend le septentrion sur le vide, il suspend la terre sur le néant. » (Job 26 : 7) Le livre de Job est l’un des plus anciens de la bible. Sa date de rédaction se situe aux alentours de l’an mille cinq cents avant Jésus Christ. À une époque aussi reculée, où personne n’était jamais allé dans l’espace, comment Job a-t-il fait pour savoir que la terre était suspendue dans le vide ? Il n’avait aucun moyen de le savoir. Il n’a fait qu’écrire ce que Dieu lui avait demandé d’écrire. C’est plusieurs siècles plus tard, lorsque les premiers astronautes sont arrivés dans l’espace, qu’ils se sont rendus compte que la terre était suspendue dans le vide. De retour sur la terre, ils ont annoncé avoir fait une grande découverte. En fait, il ne s’agissait pas d’une découverte, mais ils venaient simplement de confirmer ce que Dieu avait demandé à Job d’écrire dans la bible il y a environ trois mille cinq cent ans aujourd’hui.

Le cycle de l’eau

            Dans la nature, grâce au phénomène d’évaporation, les eaux de la surface du globe se retrouvent dans l’atmosphère. Ensuite, par condensation, elles se transforment en nuages. Après quoi, elles retombent sur la face de la terre sous forme de précipitations. Ceci constitue le cycle de l’eau, qui est enseigné dans les écoles primaires. Or, ce cycle est l’œuvre de Dieu, et il en revendique la paternité dans sa parole. Lisons plutôt ceci : « Il attire à lui les gouttes d’eau, il les réduit en vapeur et forme la pluie ; les nuages la laissent couler, ils la répandent sur la foule des hommes. » (Job 36 : 27-28)

            Il attire à lui les gouttes d’eau = évaporation

            Il les réduit en vapeur et forme la pluie = condensation

            Les nuages la laissent couler, … = précipitations

Le cheval

            Dans le règne animal, le cheval est le seul animal avec lequel on va en guerre. Vous est-il déjà arrivé de vous demander pourquoi ? Si c’est non, laissons que la bible nous donne la raison. « Est-ce toi qui donnes la vigueur au cheval, et qui revêts son cou d’une crinière flottante ? Le fais-tu bondir comme la sauterelle ? Son fier hennissement répand la terreur. Il creuse le sol et se réjouit de sa force, il s’élance au-devant des armes ; il se rit de la crainte, il n’a pas peur, il ne recule pas en face de l’épée. Sur lui retentit le carquois, brillent la lance et le javelot. Bouillonnant d’ardeur, il dévore la terre, il ne peut se contenir au bruit de la trompette. Quand la trompette sonne, il dit : en avant ! Et de loin il flaire la bataille, la voix tonnante des chefs et des cris de guerre. » (Job 39 : 19-25) La bible nous explique que le cheval est le seul animal qui n’est pas effrayé par les armes à feu, qui ne recule pas devant l’épée ou au son de la trompette. Quand le coup de feu retentit, cela le galvanise et il fonce. Le lion par exemple a beau être le roi de la forêt ; mais lorsqu’il entend le coup de feu, il est effrayé et prend la clef des champs.

Des exemples comme ceux-ci sont légion dans la bible, preuve, s’il en était encore besoin, que la bible est un livre vrai et entièrement digne de confiance. Ceux qui, jusqu’à ce jour, alors que la vérité est manifeste, continuent à soutenir le contraire, sont sérieusement en danger. Ils doivent par conséquent reconsidérer attentivement leur voie avant qu’il ne soit trop tard.

Quelques faits historiques

            La bible est un livre vrai et entièrement digne de confiance. Nous allons davantage le comprendre en examinant le « passé de Dieu » à travers deux faits historiques. En effet, il y a des circonstances où, pour donner du crédit aux propos de quelqu’un, il convient de jeter d’abord un coup d’œil dans son passé. Ceci dans le but de savoir de quel type de personne on est en présence, si c’est quelqu’un à qui on peut faire confiance ou pas. C’est ce que nous allons faire avec Dieu.

Le jardin d’Éden

Dieu nous a dit dans la bible qu’il avait planté un jardin en Éden, où il avait mis les deux premiers hommes, Adam et Ève. Alors nous nous demandons :

        Ce jardin d’Éden a-t-il réellement existé ?

        Si oui, où était-il localisé ?

        Que lui est-il arrivé ?

De nombreuses personnes pensent que le jardin d’Éden est une invention des hommes. D’autres se disent que comme c’est la parole de Dieu, c’est forcément vrai, mais ils n’ont aucune conviction. Concernant sa localisation, plusieurs pensent que c’était au ciel. Or voici le rôle de la parole de Dieu : « Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice. » (2 Timothée 3 : 16) Alors laissons que la parole de Dieu corrige ceux qui sont dans l’erreur en ce qui concerne le jardin d’Éden. Pour cela, nous allons consulter le livre de l’Éternel. « Puis l’Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l’orient, et il y mit l’homme qu’il avait formé. » (Genèse 2 : 8)

La première indication que Dieu nous donne à ce sujet est la suivante : « l’Éternel Dieu planta ». On ne peut planter que là où il y a la terre. Étant donné qu’il n’y a pas la terre au ciel, on ne peut rien planter là-bas. Ceci nous permet déjà d’écarter la possibilité que ce jardin ait pu se trouver au ciel.  Le jardin d’Éden était bel et bien sur cette terre. Mais la terre est très vaste. De quel côté ?

Comme deuxième indication, Dieu dit : « du côté de l’orient, ». Lorsque nous considérons les quatre points cardinaux, l’orient c’est l’est du monde, c’est-à-dire le continent asiatique. Le jardin d’Éden se trouvait donc en Asie. Mais l’Asie est encore très vaste. À quel niveau exactement en Asie ? Dieu nous donne d’autres indications. « Un fleuve sortait d’Éden pour arroser le jardin, et de là il se divisait en quatre bras. » (Genèse 2 : 10) Il y avait donc quatre fleuves qui arrosaient le jardin d’Éden, et Dieu donne leur nom. « Le nom du premier est Pischon ; …. Le nom du second fleuve est Guihon ; …. Le nom du troisième est Hiddékel ou Tigre ; …. Le quatrième fleuve c’est l’Euphrate. » (Genèse 2 : 11-14) Pour déterminer avec précision l’endroit où le jardin d’Éden était localisé, il suffit de prendre une carte du réseau hydrographique de l’Asie. L’endroit où nous allons retrouver ces fleuves va nous donner l’emplacement exact du jardin d’Éden. Si nous le faisons, nous allons constater la présence au Moyen-Orient, et plus précisément dans la région du golfe Persique, de deux de ces fleuves que Dieu a cités. Il s’agit du Tigre et de l’Euphrate. Ces fleuves coulent encore jusqu’à nos jours. Ils prennent leur source en Turquie, et traversent la Syrie, l’Irak, et l’Iran, avant de se jeter dans le golfe Persique. Tout ce que Dieu fait, il en laisse donc des preuves pour les générations futures. Toute personne désireuse de les toucher du doigt, et visiter ainsi les eaux qui ont jadis servi à désaltérer Adam et Éve, n’a qu’à se rendre de ce côté. Des fouilles archéologiques effectuées dans cette région ont permis de prouver que les deux autres fleuves se sont asséchés au cours de l’histoire et leur lit enfouis dans le sol ; ce que la bible confirme. « Il change les fleuves en désert, et les sources d’eau en terre desséchée. » (Psaumes 107 : 33) Ceci nous permet donc de localiser le jardin d’Éden en Asie, du côté du Moyen-Orient, et plus précisément au niveau du golfe Persique.

            Il est évident que si nous allons à cet endroit, nous n’allons retrouver aucun jardin. Que lui est-il arrivé ? La bible nous donne la réponse. « A qui ressembles-tu ainsi en gloire et en grandeur parmi les arbres d’Éden ? Tu seras précipité avec les arbres d’Éden dans les profondeurs de la terre, tu seras couché au milieu des incirconcis, avec ceux qui ont péri par l’épée. Voilà Pharaon et toute sa multitude ! Dit le Seigneur, l’Éternel. » (Ézéchiel 31 : 18) Le jardin d’Éden a donc été enfoui dans les profondeurs de la terre. Existe-il des évidences sur le terrain qui nous permettent de confirmer cela ? Rappelons qu’à l’époque du jardin d’Éden, les conditions de vie étaient très favorables sur la terre. Les êtres vivants pouvaient ainsi grandir et atteindre des proportions considérables. Par conséquent, la biomasse présente dans le jardin d’Éden était ahurissante. Si Dieu a réellement précipité tout cela dans les profondeurs de la terre, on devrait s’attendre à ce qu’il y ait beaucoup de pétrole dans cette région. En effet, le pétrole provient de la lente décomposition au travers des âges, sous l’action combinée de la température et de la pression, des cadavres d’animaux et de végétaux enfouis dans les profondeurs. Or cette région du Moyen-Orient où nous avons localisé le jardin d’Éden renferme à elle seule les soixante-dix pour cent des réserves de pétrole de la planète. C’est ce qui attire tant de convoitise, et est à l’origine des multiples guerres qu’a connues cette région. Le jardin d’Éden est donc une évidence. Avec Dieu c’est du concret, et non de l’abstrait, comme plusieurs ont toujours pensé.

Le déluge

            Dieu nous dit également dans la bible qu’à l’époque de Noé, le mal avait atteint des proportions insupportables sur la terre, au point où il a envoyé le déluge pour exterminer les hommes de cette époque. Comme avec le jardin d’Éden, nous nous demandons :

        Si ce déluge est un mythe ou une réalité ?

        S’il est réel, existe-t-il des preuves ?

Dieu fait un constat : la méchanceté des hommes était grande sur la terre. « L’Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. » (Genèse 6 : 5) Dieu va donc décider d’exterminer l’homme de la face de la terre. « L’Éternel dit : j’exterminerai de la face de la terre l’homme que j’ai créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel ; car je me repens de les avoir faits. » (Genèse 6 : 7) Mais au moment d’exécuter la sentence, Dieu va décider d’épargner Noé ; non parce qu’il était bon, mais parce qu’il a trouvé grâce à ses yeux. « Mais Noé trouva grâce aux yeux de l’Éternel. » (Genèse 6 : 8) Ayant trouvé grâce, Dieu va lui donner le moyen de son salut : l’arche. « Fais-toi une arche de bois de gopher ; tu disposeras cette arche en cellules, et tu l’enduiras de poix en dedans et en dehors. » (Genèse 6 : 14) Dieu va également lui donner la liste de ceux qui entreront dans l’arche avec lui. « Mais j’établis mon alliance avec toi ; tu entreras dans l’arche, toi et tes fils, ta femme et les femmes de tes fils avec toi. De tout ce qui vit, de toute chair, tu feras entrer dans l’arche deux de chaque espèce, pour les conserver en vie avec toi : il y aura un mâle et une femelle. » (Genèse 6 : 18-19)

Une fois la construction de l’arche achevée, et après que tous ceux qui devaient y entrer sont entrés, Dieu lui-même s’est chargé de fermer la porte. « Il en entra, mâle et femelle, de toute chair, comme Dieu l’avait ordonné à Noé. Puis l’Éternel ferma la porte sur lui. » (Genèse 7 : 16) C’est alors que le déluge s’est abattu sur la terre. « La pluie tomba sur la terre quarante jours et quarante nuits. » (Genèse 7 : 12) Les eaux montèrent jusqu’à couvrir les plus hautes montagnes sur la terre. Quant à l’arche, elle flotta au-dessus des eaux avec ses occupants. « Les eaux grossirent et s’accrurent beaucoup sur la terre, et l’arche flotta sur la surface des eaux. » (Genèse 7 : 18) Après le déluge, l’eau mit cent cinquante jours pour sécher sur la terre, et Dieu nous dit où l’arche s’arrêta. « Le septième mois, le dix-septième jour du mois, l’arche s’arrêta sur les montagnes d’Ararat. » (Genèse 8 : 4) Si cette histoire est vraie, alors les montagnes d’Ararat doivent exister. Comme nous l’avons fait avec le jardin d’Éden, nous allons prendre une carte du relief du monde et vérifier si nous pouvons trouver de telles montagnes. En cherchant minutieusement, nous nous rendons compte qu’en Turquie, près de la frontière avec l’Arménie, se trouve une chaîne de montagnes qui porte bien le nom d’Ararat, dont le plus haut sommet, le grand Ararat, culmine à plus de cinq mille mètres d’altitude. Étant donné que les montagnes d’Ararat existent, il ne reste plus qu’à y aller vérifier si on retrouvera l’arche.

C’est ce qui a été fait en mille neuf cent quatre-vingt-dix par une équipe de scientifiques asiatiques, et l’arche a bien été retrouvée sur cette montagne. Toutes les caractéristiques sur le terrain ont coïncidé avec la description faite dans la bible. C’est alors que la publication a été faite : « L’arche de Noé a été retrouvée ». L’endroit a été classé patrimoine mondial de l’UNESCO, et est devenu un site touristique. Toute personne ayant les moyens, et désireuse de toucher du doigt l’arche de Noé, n’a qu’à se rendre en Turquie. L’arche de Noé ayant été retrouvée, ceci est la preuve que le déluge est une réalité. Nous pouvons faire de même avec la traversée de la mer rouge, avec la tour de Babel, et bien d’autres. Les enseignements que nous pouvons tirer de cette étude sont :

– La bible n’est pas un livre de fables (des histoires inventées), mais un ensemble de faits (ce qui existe réellement et incontestablement).

– Tout ce que Dieu annonce, il le réalise. Si les choses que Dieu a annoncées dans le passé, nous avons les preuves qu’il les a réalisées, alors il n’y a aucun doute en ce qui concerne les choses qu’il annonce pour le futur : il les réalisera également, parce que c’est le même Dieu qui les annonce, et en plus, Dieu n’est pas un menteur. « Dieu n’est point un homme pour mentir, ni fils d’un homme pour se repentir. Ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas ? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t-il pas ? » (Nombres 23 : 19) Ce sont les hommes qui déclarent des choses, et après reviennent sur leur décision. Mais en ce qui concerne Dieu, une fois que sa parole est sortie, elle ne peut jamais rester sans effet. Ça peut prendre du temps, mais elle finira par s’accomplir. « Ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. » (Ésaïe 55 : 11) Et parmi les choses que Dieu annonce pour le futur, il y a bien évidemment la seconde venue de Jésus. Il n’y a donc aucun doute, elle s’accomplira certainement. « Car c’est une prophétie dont le temps est déjà fixé, elle marche vers son terme, et elle ne mentira pas ; si elle tarde, attends-la, car elle s’accomplira, elle s’accomplira certainement. » (Habacuc 2 : 3) Ceux qui prennent donc cette affaire pour en faire des sujets de blague et de raillerie sont en train de jouer avec le feu et courent le risque de brûler éternellement en enfer.

 

Que revient-il faire ?

            La première fois, il était venu en tant qu’Agneau de Dieu. « Le lendemain, Jean était encore là, avec deux de ses disciples ; et, ayant regardé Jésus qui passait, il dit : voilà l’Agneau de Dieu. » (Jean 1 : 35-36) C’est pourquoi il n’est pas né dans un hôpital, mais dans une crèche (étable) ; car c’est là que naissent les agneaux. Or, un agneau est un animal sans défense. C’est la raison pour laquelle Jésus ne résistait pas face à ses oppresseurs. « Il a été maltraité et opprimé, et il n’a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent ; il n’a point ouvert la bouche. » (Ésaïe 53 : 7) Ce n’était donc pas une affaire de force, car si c’était le cas, même tous les habitants de la terre réunis ne pouvaient rien contre Jésus. « Penses-tu que je ne puisse pas invoquer mon Père, qui me donnerait à l’instant plus de douze légions d’anges ? » (Matthieu 26 : 53) C’est le salut de l’humanité qui était en jeu, et cela exigeait un sacrifice parfait. « C’est parce que Jésus Christ a accompli la volonté de Dieu en offrant son corps une fois pour toutes en sacrifice que nous sommes purifiés du péché et consacrés à Dieu. » (Hébreux 10 : 10 PVV) On ne lui avait donc pas arraché la vie, mais c’est lui qui s’était volontairement donné à la mort pour le salut des hommes. « Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre : tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père. » (Jean 10 : 17-18)

            Pour sa seconde parution, il ne viendra plus comme Agneau, il ne viendra plus pour sauver, il ne viendra plus pour être maltraité et opprimé par les hommes, mais pour prendre ceux qui ont compris l’objet de sa première venue, ceux qui ont compris pourquoi il a enduré toutes ces souffrances. Pour cela, il s’arrêtera dans les airs, et en un clin d’œil, tous les sauvés, morts ou vivants, iront à sa rencontre. C’est ce qu’on appelle l’enlèvement de l’Église. « Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. » (1 Thessaloniciens 4 : 16-17) Après cet évènement inédit, le monde basculera dans une période trouble, les sept années de tribulation, qui aboutira à la troisième guerre mondiale ou guerre nucléaire, et qui verra la destruction de ce monde. « Le grand jour de l’Éternel est proche, il est proche, il arrive en toute hâte ; le jour de l’Éternel fait entendre sa voix, et le héros pousse des cris amers. Ce jour est un jour de fureur, un jour de détresse et d’angoisse, un jour de ravage et de destruction, un jour de ténèbres et d’obscurité, un jour de nuées et de brouillards, un jour où retentiront la trompette et les cris de guerre contre les villes fortes et les tours élevées. » (Sophonie 1 : 14-16) Tous ceux qui ne seront pas enlevés, Dieu va donc déchaîner sa fureur sur eux. Nous ne souhaitons à personne de vivre cela.

            En définitive, nous nous rendons compte que, contrairement à ce que de nombreuses personnes admettent, la bible est bel et bien le livre de Dieu, malgré qu’elle a été écrite par les hommes. Sa véracité et sa fiabilité ont été attestées à travers les exemples mentionnés dans cette brochure, et il en existe plein d’autres qui pourront être développés lors d’un séminaire biblique. Aussi, nous avons pu nous rendre compte que Dieu n’est pas un menteur, mais tout ce qu’il annonce, il le réalise. Tout ceci nous a permis de conclure que la bible n’est pas un recueil de fables, mais un livre vrai et entièrement digne de confiance. Par conséquent, tout ce qui y est écrit doit être pris au sérieux. La seconde venue de Jésus n’est donc pas une invention des hommes, mais un fait réel qui est sur le point de s’accomplir, car tous les signes précurseurs de cet évènement se sont déjà accomplis. Alors questions :

        Êtes-vous sûr(e) que vous serez enlevé(e) ?

        Êtes-vous sûr(e) d’échapper à la colère à venir de Dieu ?

        Si oui, sur quoi fondez-vous votre certitude ?

        Ou êtes-vous plutôt parmi ceux qui ont tourné cet évènement en dérision ?

 

Auquel cas le temps joue contre vous. L’horloge de Dieu tend inexorablement vers l’instant fatidique, et vous n’aurez aucune excuse pour votre incrédulité. « Car il est de la justice de Dieu de rendre l’affliction à ceux qui vous affligent, et de vous donner, à vous qui êtes affligés, du repos avec nous, lorsque le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec les anges de sa puissance, au milieu d’une flamme de feu, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus. Ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force » (2 Thessaloniciens 1 : 6-9).

 

            Voulez-vous savoir comment être éligible à l’enlèvement afin d’échapper à la colère à venir de Dieu ?

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